dimanche 5 octobre 2008

Des femmes victimes des hommes

Les hommes arabes ont d’une part, une grande aspiration à l’évolution et au développement et, d’autre part, un profond attachement au passé.
Un passé où la femme n'avait ni présence instructive, ni présence politique. Tous les pays arabes sont contrôlé par des hommes. Est-se que la femme ne peut pas avoir des idées pour gérer un pays?

Je ne pense pas, mais c'est surtout la mentalité des hommes qui ne veut pas changer depuis des siècles (même si nous remarquons quelques changements dans des pays comme la Tunisie, le Maroc, l'Algérie...) Cela reste insuffisant.
Tout cela sous prétexte qu'il à été écrit dans le coran que la femme doit rester à la maison, ne doit pas parler à haute voix, n'a pas le droit de s'opposer à ses parents, se marier avec l'homme que sont père lui choisit... (où est l'égalité??)
" Selon des chiffres communiqués lors de la dernière rencontre de la femme arabe, qui s’est tenue en mai 2004, le taux moyen de participation politique féminine dans les pays arabes varie entre 0 et 2%. "
Pourquoi obliger une aussi belle créature à rester dans l'ombre à ce cacher en silence ??

Je pense qu'il est venu le temps de goûter aux innovations et aux idées des femmes et les laissé nous guider, peut-être nous feront-elle atteindre l'illumination.
Donnons aux femmes arabes leurs droits.

vendredi 3 octobre 2008

L’autoroute de la vie


Une métaphore que certains trouveront peut-être charmante, amusante ou même débile... Pour moi la vie se résume a une autoroute sans fin (bien sur il y a la mort, mais moi je parle de but) Il y a ceux qui veulent traverser cette autoroute à pieds ou en bicyclette, pour pouvoir admirer et contempler les beaux magasins et s’attarder pour ce convaincre qu’ils s’amusent, qu’ils passent du bon temps et pour faire semblant de se rende utile au commun des mortels et avoir soi-disant un but (enfin s’il en trouve un) pour ne pas s’éloigner des souvenirs, du point de commencement et des beaux moments.
Comme il y a aussi ceux qui prennent le bus, ceux-là sont un cas à part cela sont ceux qui participent au colonies de vacances et aux voyages organisés c’est surtout ceux qui ne peuvent pas se distinguer, ce monter en haut de la pyramide, c’est aussi ceux qui veulent combler le vide de la solitude même s’ils n’ont rien a offrir aux autres et se retrouver en groupe pour chanter, rigoler et s’amuser même si leur vie n’a rien d’amusant.
Moi mon autoroute je veux la traverser en Mercedes ou en Ferrari ou pourquoi pas en Lamborghini pour ne pas m’attardes, pour tout oublier, oublier les bons moments comme les mauvais, j’enlèverais les rétroviseurs de ma voiture pour ne pas voir le passer, pour faire une croix sur tout ce que j’ai dépasser et aller de l’avant, ma voiture n’a que deux places : celle du conducteur pour moi et celle du passager sera pour l’autostoppeuses que je prendrais avec moi dans mon voyage ou pour mieux dire dans ma vie, elle qui voudrait tailler la route avec moi et partager mon autoroute aura une place spéciale, pardonnez moi vous autres autostoppeur de ne pas avoir fait attention a vous mais je roule à 300 à l’heure et je doit en finir avec cette route interminable pour arriver à ma fin sans accidents.

Le Devoir

Il existe pas qu’un devoir unique, celui qu’on a envers autrui, mais il y a aussi un devoir envers soi-même, un devoir envers l’état, envers la science et autre envers la nature… Il faut être secourable, certes, «C’est pour cela qu’on est là…» Mais ce genre de maximes, ce n’est jamais que de la théorie…

Dans quelle mesure, en effet, doit-on se montrer secourable ?

… Vous êtes un étranger, et je vous suis étranger, et je vous demande de ne pas dire que vous m’aviez vu… Bon! vous vous taisiez : vous remplissez ce devoir… je vous pris de causer avec moi, parce que je crève de mon silence… Vous êtes prêt à m’entendre… Bien… mais c’est là une chose facile… Or, si je vous demandait de m’empoigner et de me tire une balle dans la tête… Ici, certainement, s’arrête la complaisance, l’obligeance. Il y a, à coup sûr, une limite quelque part… là où votre propre existence, votre responsabilité entrent en jeu… Il faut cette limite soit… Le devoir est, à coup sûr, limité…

Oui, le devoir s’arrête quelque part… là où l’on n’a plus le pouvoir de l’accomplir, précisément, quand notre nature nous l’interdit et nous défend d’intervenir.